mardi 31 octobre 2017

[Sur écoute] Monarch - Never forever


(Attention critique sous acide, directement de l'oreille au clavier... oui, je sais, c'est pas bien.)

Dès l'intro tout en douceur d'Of night with kniwes... et ce drone qui vient depuis les profondeurs, nous savons que nous sommes en terrain brumeux. Brumeux dans le sens le meilleur du terme, tant la musique de Monarch ici se fait opératique et déploie une ambiance délétère et parfaite. Puis la voix d'Eurogirl surgit. Psalmodiant, tel un rituel.

Le noir est la couleur de l'album. J'avoue que c'est mon entrée dans cet univers, que je n'ait jamais fréquenté et que c'est la première fois que je jette une oreille là-dessus. Mais l'ensemble se tient bien et me plaît. Les ambiances sont à la fois homogènes et parfaitement traduits.
Bref, un bon disque que je vous conseille.



Monarch :
Eurogirl : Chant et claviers
Miomio : Guitares
Benjamin Sablon : Batterie
Shiran Kaïdine : Guitares
MicHell Bidegain : Bass

Tracklisting :
1. Of night with kniwes (15:02)
2. Song of the void (5:45)
3. Cadaverine (17:47)
4. Diamant noir (9:04)
5. Lilith (19:58)
Total : 1h07min36s

lundi 30 octobre 2017

[On a vu] Golden ninja warrior (Joseph Lai/Godfrey Ho, 1986, HK)


Golden ninja warrior
Réalisation : Joseph Lai et Godfrey Ho
Année : 1986
Genre : Action
Avec Donald Owen, Huei-Chie Yang, Ming Tien...
Scénario : Joseph Lai
Producteur : Betty Chan et Joseph Lai
Lumière : Milton Yue
Montage :William Kong
Durée :  1h25

Une ninja en civile


Le Synopsis : Deux ninjas se font attaquer séparément par un même méchant ninja. L'une, Sheeri, va chercher à retrouver le meurtrier (la meurtrière) de son père, le second cherche à défendre le Golden Ninja Warrior, une statue. Bien sûr les deux histoires vont se mêler sans trop qu'on comprenne. (oui, nous sommes dans un 2 en 1).

La statuette protège le ninja (ou l'inverse)




Le Pitch : Enième 2 en 1 de ce filou de Godfrey Ho. Golden Ninja warrior s'enorgueillit de disposer sur certaines de ces affiches de la présence de Richard Harrison, italien qui s'est perdu un jour en Asie et qui a eu bien du mal à retrouver le chemin de retour. Sauf qu'après la séquence d'ouverture, on ne le retrouve plus. Ce n'est qu'une des nombreuses incohérences d'un film monté à la truelle avec des extraits de Ninja terminator et d'un autre film obscure. Et comme d'habitude dans ce genre d'entreprise, le résultat est plus ou moins bien fait avec des séquences plus ou moins bien intégré par le jeu du doublage.

Mais à la vision de la chose, le plus choquant est peut-être une scène de viol parfaitement gratuite. Sinon, on pourra reprocher aussi des petits soucis d'éclairages mais bon, des ninjas féminins il n'y en a pas tant que ça et comme dans tout bon nanar le doublage est magique.


dimanche 29 octobre 2017

[On a vu] Diamond ninja force (Godfrey Ho, 1988, HK)


Diamond Ninja Force
(aka L'Enfer des ninjas)
(aka Ninja warriors)
Réalisation : Godfrey Ho
Année : 1988
Genre : Action/Fantastique/Horreur
Avec Richard Harrison, Melvin Pitcher, Andy Chworowsky....
Scénario : Godfrey Ho
Producteur : Betty Chan et Joseph Lai
Lumière : Raymond Chang
Montage : Nicky Au
Durée : 1h32

L'Esprit trip... euh... vengeur.

Le Synopsis : Deux clans de ninjas s'opposent afin d'obtenir un trésor situé sur une terre occupée par une famille mafieuse (enfin c'est ce que je pense avoir compris). Le clan des Ninjas noires (les méchants), envoie des esprits pour tourmentés la fille du chef de clan afin qu'elle leurs cèdent les terres en questions.

Richard Harrison explose son forfait téléphone
Le Pitch : Attention nanard. Nous avons affaire à ce que l'on appelle un 2 en 1. Deux films totalement différents remontés et redoublés ensemble pour n'en faire qu'un. Bien sûr la manipulation est plus ou moins bien faite. Ici, nous sommes dans le moins. Mais c'est ce qui donne en partie la patte de ce film.
Richard Harrison, grand maître des gentils ninjas n'intervient qu'à distance d'une intrigue principale d'où il communique avec les protagonistes par téléphone (mais puisqu'on vous dit que ce n'est pas le même film).
Le film a été vu sur un DVD Bach films avec un master... euh... sous-éclairé... mais ils ont fait ce qu'ils ont pu, en général les masters de ces films sont mal conservés, bref, le tout empêchant de bien voir certaines séquences (surtout les attaques du démon dans la maison), mais la VF est des plus fendarde et mérite pleinement qu'on s'y attarde.
Bref, un bon petit film pour une bonne soirée nanarde entre ami.

[Concert] Alestorm + Troldhaugen + Aether Realm (21 Octobre 2017, Elysée Montmartre)


C'est dans un Elysée Montmartre pas encore pleins que commence à jouer Aether Realm, groupe américain assurant l'une des premières parties du show de ce soir. Si nous ne sommes pas habitués à les voir, il est heureux de voir que ceux-ci envoient du bon, gros sons. Et si le propos apparaît comme lourd et pesant (mais nous sommes bien en présence de métal dit viking... donc tout est normal de ce côté). Le groupe ose parfois alors vers des choses plus guillerettes comme avec King of cups où Chris Bowes, leader d'Alestorm vient rajouter sa patte déguisée en bacon ou même une intro calme pour The sun, the Moon, The Star... histoire de faire descendre le public en douceur.
Puis, c'est au tour de Troldhaugen d'envahir l'espace pour quelques choses de... complétement différent. (Il faut dire que venir sur une musique des Village People... oui... bon...) Le chanteur et leader Reventüsk se démène comme un diable prenant la pose, surjouant le troll déchainé. Il bondit comme un beau diable et ne s'économise pas. Il faut dire que malgré l'incrédulité la sauce prend. Et c'est au son de BMX Terminator et d'un succulent Jaw Drop que la salle fait corps. Malheureusement, ceux-ci nous quittent sur un Viva Loa Vegas...
La bonne humeur est dans la salle. Entre Troldhaugen et la tête d'affiche des techniciens arpentent la scène et commencent à gonfler un canard en plastique. L'un des techos fait même signe à la salle que c'est l'anniversaire de celui-ci (oui, une salle à chantée un joyeux anniversaire à un canard...). Alestorm finit par faire son entrée et là, c'est un vrai déferlement de pain dans la gueule (avec un esprit bon enfant). Chris Bowes est en forme et le fait savoir, on aura même droit à un guest sur Hangover et un petit Wall of death sur Captain Morgan's revenge (et on a tous ramé aussi). Bref, un concert comme on aimerais en voir plus souvent.


Aether Realm :
Donny Burbage : Guitare
Heinrich Arnold : Guitare
Tyler Gresham : Batterie
Vincent Jones: Basse et chant

Setlist Aether Realm:
  1. The Magician
  2. Tarot
  3. Death
  4. Swamp Witch
  5. King of Cups
    (with Chris Bowes)
  6. The Chariot
  7. The Sun, The Moon, The Star

Troldhaugen :
Svarog : Basse
Grädenøk : Batterie
Meldengar : Guitare
Reventüsk : Chant, guitare et guimbarde

Setlist Troldhaugen :
  1. I Ordered a Taxi Driver Not a Taxidermy
  2. CRISPr Me Baby (One More Time)
  3. BMX Terminator
  4. Poultrytician
  5. ¡Mambo Mambo! (¿Binko Banko?)
  6. It’s Morphine Time
  7. Jaw Drop
  8. Genome In A Bottle
  9. Viva Loa Vegas
Alestorm :
Christopher Bowes : Claviers et chant
Gareth Murdock : Basse et choeurs
Peter Alcorn : Batterie
Elliot Vernon : Claviers
Máté Bodor : Guitare

Setlist Alestorm :
  1. Intro
  2. Keelhauled
  3. Alestorm
  4. Magnetic North
  5. Mexico
  6. That Famous Ol' Spiced
  7. The Sunk'n Norwegian
  8. No Grave But The Sea
  9. Nancy the Tavern Wench
  10. Rumpelkombo
  11. 1741 (The Battle of Cartagena)
  12. Hangover
    (Taio Cruz cover)
  13. Pegleg Potion
  14. Bar ünd Imbiss
  15. Captain Morgan's Revenge
  16. Shipwrecked

     Rappel
  17. Drink
  18. Wenches & Mead
  19. Fucked with an Anchor
  20. Mr Blobby

samedi 28 octobre 2017

[Concert] Ultra Vomit (13 octobre 2017 - Le Trianon)


On ne présente plus les nantais d'Ultra Vomit. Tout comme ce début d'article est d'une facilité déconcertante, le groupe mené par son charismatique chanteur Fétus donne l'impression d'enchaîner avec facilité les pains comme on aime. Et c'est décidément sur scène que nous profitons au mieux de notre ration quotidienne. (Amen).
Nous passerons sur une première partie effectuée par l'humoriste Dédo... qui nous a laissé de marbre (mais on était les seuls) et qui a permis de lancer une blague récurrente tout au long du show et du set des Ultra Vomit... Oui, nous on veux la 7... La SEPT putain.

Comme à leurs habitudes, les Ultra Vomit ont donné le meilleur d'eux-même dans un Trianon plus à craquer. Oui, le concert était complet et oui, c'était fifou.
Commençant par leurs versions des Looney Tunes (oui, le gros son arrive très vite), les valeureux gladiateurs entrent en scène sur la musique incontournable du Fort Boyard. Et puis, c'est parti pour un Darry Cowl Chamber avant que Fetus prennent la parole. Et là, c'est la banane. La grosse grosse banane comme on les aime. Tout s'enchaîne parfaitement dans un concert aussi puissant que drôle. Osant insulté quelqu'un en le faisant monter sur scène pour "Pauv' connard", séparant le public en deux clans la team pipi et la team caca... le tout à 100 à l'heure. (Et j'appartiens à la Team Matthieu Bausson... parce que les gars, hein... oh...)
A noter aussi des guest de prestiges comme Patrick Baud (Axolot) pour Takoyaki et Andrèas de Andrèas et Nicolas... le Nicolas n'étant autre que Fetus... pour Je collectionne des canards (vivants).
Bref, un concert puissant qui mérite qu'on y revienne dès qu'ils se représenteront. Ça tombe bien puisqu'ils viennent d'annoncer un Olympia dans un an.

Ultra vomit :
Fetus (Nicolas Patra) : Chant et guitare
Manard (Emmanuel Colombier) : Batterie et Chœurs (et parfois chant)
Flockos (Fabien Le Floch) : Guitare et choeurs (et parfois batterie)
Matthieu Bausson : Basse

Set list :
  1. Looney tunes theme
  2. Fort boyard theme
  3. Darry Cowl Chamber
  4. Les bonnes manières
  5. Un Chien Géant
  6. E-TRON (digital caca)
  7. Mechanical Chiwawa
  8. Je ne t'es jamais autant aimer
  9. Mountains of Maths
  10. Pauv' connard
  11. Calojira
  12. Takoyaki
    (feat. Patrick Baud)
  13. Boulangerie pâtisserie
  14. Jack Chirac
  15. La Marseillaise
  16. Pipi VS Caca
  17. Batman VS Predator
  18. Welcome to the Jingle
  19. Je possède un cousin
  20. Une souris verte
  21. La Ch'nille
  22. La Bouillie IV
  23. Improvisation
    (Jazz diabétique)
  24. Keken
    (Manard au chant, Flockos à la batterie)
  25. Anthracte
  26. I Like to Vomit
  27. Je collectionne des canards (vivants)
     Rappel 
  28. Kammthaar
  29. Quand j'étais petit
  30. Evier Metal

jeudi 26 octobre 2017

[EVENT] Kill the Kult : Quelle était la gay-stion ? (Mardi 7 novembre 2017)



Oyé amis du Kult,
on ne va pas tourner autour du pot. On a déjà fait un Kill the Kult, sur le thème de l'homosexualité qu'on avais couplé avec un thème gros bras, là, foin de minauderie, on entre complètement dans le sujet... (et certains peuvent aimer...)
Bref, on va vous parler de sexualité non-hétéro, et de son apparition dans le cinéma récent. Voilà....

Bien sûr, une bouteille de champagne pour l'équipe victorieuse. Bien sûr, des blagues, bien sûr, on vous aime, bien sûr, on a hâte de vous retrouver.

Kultement vôtre,
Matthieu

mercredi 25 octobre 2017

[On a vu] Blade runner (Ridley Scott, 1982, USA/HK/GB)




Blade Runner
Réalisation : Ridley Scott
Genre : SF/Thriller
Avec Harrison Ford, Rutger Hauer, Sean Young, Edward James Olmos, Daryl Hannah....
Scénario : Hampton Fancher et David Web Peoples
d'après le roman "Les Androïdes rêvent-ils de mouton électrique?" de Philip K. Dick
Producteur : Michael Deeley
Musique : Vangelis
Lumière : Jordan Cronenweth
Montage : Terry Rawlings
Durée : 1h57 (suivant les versions)





Le synopsis : Les Blade runner sont des policiers chargés de "retirer" de la population les réplicants. Des androïdes parfaitement semblables à des hommes. Rick Deckard est chargé de retrouver 4 réplicants en recherche de réponses sur le sens de leurs existences.



L'Avis : Chef d'oeuvre de la Science-Fiction, on ne présente plus Blade Runner. Si on peux revenir sur les décors, incroyablement bien fait pour l'époque (essentiellement des matte paintings et des miniatures), la puissance symbolique de l'oeuvre de Ridley Scott est estomaquante.
Pourtant c'était pas très bien parti. Réalisé après Alien et pendant la pré-production d'un Dune qui ne sera pas réalisé par Scott, Ridley perd son frère ainé et s'enfonce avec obstination dans le travail. C'est aussi pour ça que le film est d'un noir d'encre. Et pas uniquement à cause du monde originel créé par Dick.
Très vite, le montage initial de plus de 3 heures rebutent les producteurs, ainsi que son propre réalisateur... il faut coupé.
De ce qui reste aujourd'hui du film, un Harrison Ford au sommet et un Rutger Hauer qui ne fera jamais mieux. (Peux savent que son monologue final a été complètement improvisé.)
Blade Runner est un classique à voir et revoir sans modération.

vendredi 6 octobre 2017

Blade runner 2049 (Dennis Villeneuve, 2017, USA/GB/Canada)


Blade Runner 2049
Réalisation : Denis Villeneuve
Genre : SF, Thriller
Avec Harrison Ford, Ryan Gosling, Ana de Armas, Dave Bautista, Robin Wright....
Scénario : Hampton Fancher, Michael Green...
D'après les personnages du roman "Les Androïdes rêvent-ils de mouton électrique?" de Philip K. Dick
Producteur : Broderick Johnson, Andrew A. Kosove, Cynthia Sikes et Bud Yorkin
Musique : Hans Zimmer et Benjamin Wallfisch
Lumière : Roger Deakins
Montage : Joe Walker


Le Synopsis : Plusieurs dizaines d'années après les évènements ayant menés à la fuite de Rick Deckard, les replicants d'alors sont toujours recherchés et traqués par les Blade Runner. Mais la découverte d'ossements enterrés, va relancer les interrogations sur ce que sont les robots perfectionnés et quels sont les limites de l'âme et de l'humanité.


L'Avis : Le film commence dans la terre et se termine dans la mer. Et ce n'est pas un hasard, on a toujours su que lors du premier Blade runner, les décors avaient leurs importances. Un dialogue entre les démons intérieurs des robots et les affiches publicitaires indiquant la déliquescence de toute une population soi-disant humaine.
Ici, le concept est le même. La population est entassée dans des immenses mégalopoles, et en-dehors d'elle la nature a repris ces droits. De la terre nourricière aux roulis de la mer matricielle, c'est là qu'il faut aller pour savoir, se comprendre, se rechercher.
C'est aussi dans le limon (aka les déchets, ce qui reste après décomposition) que se trouve le salut.
Blade Runner 2049 est un beau film, prenant son temps. Mais ne prenant pas son spectateur pour un idiot. Il pourra en laisser plus d'un sur le carreau (ce fut le cas dans la salle où des départs ont émaillé la projection).
L'image est sublime et les interprètes au diapason. L'utilisation de la tête de teckel de Ryan Golsing est bien trouvé (désolé), Harrison Ford est toujours au top (même si il accuse bien son âge.) et Ana de Armas est une étoile à suivre.
Bref que du bon sur ce film.

mercredi 4 octobre 2017

Ça (It, Andrés Muschietti, USA, 2017)


Adaptation du livre éponyme de Stephen King, Ca, raconte l'histoire d'une bande de jeunes aux prises avec une entité maléfique, se faisant appelé Pennywise (Grippe-sou en VF), qui tue (et mange) des enfants.


C'est la seconde adaptation de cet opus majeur dans la bibliographie du maître de l'horreur. La première intitulé en France "Il est revenu" par M6 lors de sa diffusion télé était un téléfilm en deux parties ayant pour principale qualité d'avoir fait peur à une bonne partie de ma génération (en fait, tous ceux que je connaisse).
Bon après, à la vision actuelle de ce téléfilm, le résultat fonctionne comme une madeleine de Proust. Pas plus. Si la première partie a toujours du peps, la seconde est clairement mou du genou et a trop vieilli. C'est d'ailleurs cette première partie qui a été à nouveau adapté dans le film de Muschietti. La partie avec des enfants. Celle que mine de rien nous avions tous retenue.
Très vite, nous remarquons un changement d'époque... une mise à jour en somme. En effet, quoi de mieux que de déplacer à la fin des années 80 pour que les adultes ou adulescents d'aujourd'hui se sentent en empathie? Puis la seconde remarque que l'on se fait est.... la violence.
Si "Il était revenu" était un téléfilm avec une bonne utilisation du hors champs... ici nous sommes dans la monstration, le premier mort, celui du frère de l'un des héros, est beaucoup plus graphique. Quitte à suivre plan par plan le téléfilm original.... pour à la minute léthale pour l'enfant changer d'axe et enfin proposer autres choses.
Et c'est ainsi que commence un jeu de traque avec le spectateur où l'on joue aux 7 différences. Un album photo se transforme en projecteur de diapo, la relation entre Beverly et son père sont beaucoup plus explicite, tout comme l'histoire de Mike.... des petits ajouts ou des modifications intéressants et apportant un plus très net.
Puis, c'est après le film que c'est le drame. Qu'en avons-nous pensé? Bah, c'est bon mais on a pas réellement eu peur (contrairement à une grande partie de la salle). Est-ce dû au fait que grosso modo, nous connaissions l'histoire et que le jeu des 7 différences précédents nous a sorti du film? Est-ce dû que mine de rien, le film est beau? (car, il y a des tonnes de recherches graphiques faisant plus penser à un beau conte gore?)... bref, cette peur n'était pas là.
Le film est quand même un régal et nous vous le conseillions.